« C'est sûr que j'aimerais ça. C'est sûr que c'est beaucoup de pression, mais backup c'est moins pire que gardien numéro un. C'est l'équipe que j'ai toujours regardé à la télévision et c'est à une heure et demi de chez nous, donc c'est sûr que j'aimerais vraiment ça! »
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Mais a-t-il ce qu'il faut pour être l'adjoint de Carey Price?
Même s'il n'a pas énormément d'expérience dans la LNH, Montembeault demeure un excellent gardien qui ne cesse de s'améliorer. De plus, même s'il a déjà beaucoup d'expérience dans la AHL, celui-ci demeure confiant de joueur un jour comme régulier dans la LNH
« Je veux devenir un no 1. Je veux être celui qui est envoyé dans la mêlée soir après soir. »
Pour ce faire, le gardien de but originaire de Bécancour veut prendre exemple sur deux gardiens avec qui il a eu la chance d'évoluer dans les dernières années. Pour lui, Roberto Luongo et Sergei Bobrovsky sont de très bons mentors avec lesquels il a pu avoir quelques conseils.
« Il est toujours le premier arrivé et le dernier sorti lors des entraînements. Il travaille très fort en plus d'être un très bon vétéran. Il donne des conseils, c'est un superbe exemple à suivre. Je suis chanceux d'avoir eu Roberto (Luongo) et Sergei (Bobrovsky) comme coéquipiers », a expliqué celui qui a toujours eu Roberto Luongo comme idole.
Cette saison, Montembeault a évolué avec les Panthers de la Floride, où il n'a joué que 14 matchs avec le grand club et 11 rencontres avec le club-école des Panthers, les Thunderbirds de Springfield. En carrière, l'ancien choix de 3e ronde, 77e au total en 2015, n'a joué que 25 matchs dans la LNH, bon pour une fiche de neuf victoires, huit défaites et trois défaites en prolongation en plus de présenter une moyenne de 3.20 et un taux d'efficacité de .892.
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Pourrait-il être un bon candidat à bas prix pour les Canadiens de Montréal, lui qui deviendra agent libre avec compensation à partir du 1er juillet prochain?
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