Il n'a toujours pas trouvé le fond du filet, mais il commence à sortir de sa coquille et le Canadien en aura besoin. Il est encore à ce jour le meilleur joueur de l'équipe et il doit agir comme tel.
Nick n'a pas manqué un seul match depuis le début de sa carrière, il a toujours progressé à chaque saison en terme de points par match et il devient une référence dans toutes les facettes du jeu.
Bref, son comportement sur la glace et hors de la glace est irréprochable, sauf peut-être une petite chose qui commence à faire critiquer certaines personnes.
En effet, le capitaine avait promis d'apprendre le français, mais il ne parle toujours pas dans la langue de Molière avec les fans.
À titre informatif, Brendan Kelly est un journaliste anglophone de la Gazette Montréal qui a sorti un livre en français. Il sait donc de quoi il parle. Son livre est justement sur l'importance du français pour le Canadien de Montréal.
C'est suite à la sortie de ce livre que le journaliste du Journal de Montréal Marc De Foy est allé s'entretenir avec Nick Suzuki seul à seul, pour le mettre dans une position moins vulnérable et entendre sa version.
Un peu comme Saku Koivu, qui n'a jamais fait d'entrevue en français et qui se l'est fait reprocher toute sa carrière, on dirait que Nick Suzuki craint de parler français.
C'est vraiment dommage, parce que le peuple québécois est toujours très content de voir quelqu'un faire l'effort de parler français et la plupart des gens vont l'aider et le féliciter au lieu de rire de lui.
Crédit : TVA Sports
Que c'est compliqué, parler français
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