À 37 ans, il peut encore chausser les patins pour une balade avec son fils à la patinoire du coin, mais il ne peut même pas s'imaginer enfiler les jambières une autre fois.
« J'ai déjà cru que je n'allais jamais pouvoir me remettre complètement de ces blessures, que ça allait me suivre pour le reste de ma vie Je ne récupère plus comme auparavant, c'est ça, le problème. Garder les buts, c'est très exigeant, mais tout ça fait partie des risques du métier. On joue les matchs parce qu'on aime ça, on ne pense à rien d'autre. Je ne changerais rien.
Je m'ennuie du hockey parce que j'ai toujours trouvé que le hockey me permettait d'être le meilleur de moi-même C'est sûr que j'aurais mieux aimé continuer.»
- Carey Price dans un texte de
Richard Labbé de La Presse