La raison est simple, Gorton peut faire des petites acquisitions au ballottage ici et là, par contre, de là à faire des transactions, c'est la tâche du DG et non du vice-président aux opérations hockey. C'est assez évident, Gorton ne fera pas de transactions sans avoir établi un plan de match avec son nouveau directeur général.
« Est-ce que ça veut dire qu'au cours des dernières semaines, il n'a pas parlé aux DG des autres équipes de la LNH? Absolument pas! Il a fait sa job, il a parlé à tout le monde. Les gens l'ont appelé, ils veulent savoir ce qui arrive avec l'équipe, qui pourrait être échangé, quel genre d'offre il voudrait pour x, y ou z. Mais en bout de ligne, celui qui va la faire la transaction, ou les transactions, ce n'est pas Jeff Gorton, ce sera le prochain DG qui sera nommé, espérons-le, d'ici la prochaine semaine. » - Renaud Lavoie
On peut donc, en lisant entre les lignes, affirmer que le comité de sélection du directeur général, qui est fort probablement déjà sélectionné au moment où on se parle, devra accélérer le processus.