Terminé pour un attaquant du Canadien de Montréal: «un jour, il devra y avoir une fin, ça doit cesser»

Les défaites se suivent et se ressemblent pour la troupe de Martin St-Louis, et il n'est pas très heureux de la situation. Quand l'équipe perd et compétitionne, ce n'est pas un problème. Quand le niveau de compétition est déficient, c'est là que ça devient un problème.

Et le Canadien perd des matchs de façon assez claire. Six des sept défaites du CH ont été assez claires. C'est beaucoup quand on pense qu'il y a seulement 11 matchs de joués.

Le journaliste attitré à la couverture du Canadien pour BPM Sports et la voix du
Rocket de Laval, Anthony Marcotte, a souligné un problème dans l'équipe et je dois avouer que je suis parfaitement d'accord avec lui. L'expérience Christian Dvorak a assez durée.

Ce n'est pas normal qu'on soit presque content quand un joueur se blesse parce qu'il ne sera plus dans l'alignement. Pendant qu'il est là et qu'il joue les touristes, il y a de bons jeunes qui attendent d'avoir une place en bas.

Oui Dvorak est un bon ami de plusieurs joueurs actuels du Canadien, notamment de Cole Caufield, mais ça ne devrait pas être suffisant pour qu'il soit employé soir après soir.

Si Joel Armia a été soumis au ballotage, puis au Rocket de Laval, je crois que Christian Dvorak le peut aussi. Je ne sais pas pourquoi Kent Hughes et Martin S'entêtent à le faire jouer.

Au risque de me répéter, ils ont décidé d'envoyer Alex Barré-Boulet au ballotage puis à Laval parce qu'ils voulaient laisser la place aux jeunes. Il a un contrat à un volet, tout comme Christian Dvorak.

Si ABB peut avoir se traitement, Dvorak le peut aussi.