Même s'il n'a que 20 ans, je le regarde faire et j'apprends de lui. - Alex Belzile

Même si l'échantillon est mince, le jeune homme a prouvé lors de cette rencontre qu'il appartenait bel et bien à la LNH.

Il est facile de trouver des points sur lesquels complimenter Caufield. On parle d'un joueur au talent exceptionnel, souriant, au lancer inexplicable... Ceci étant dit, Alex Belzile a vanté une qualité de Caufield autre que les « bla-bla » habituels que l'on entend sur le choix de premier tour des Glorieux en 2019.

« C'est certain que le niveau d'intensité et la force physique des joueurs sont également d'autres aspects qui diffèrent dans les deux ligues. Je dirais que dans le cas de Cole, ça ne paraît pas vraiment. Si l'on change son nom de famille dans le dos de son chandail, on pourrait croire qu'il a déjà joué au moins 20 matchs à ce niveau. »

Bien entendu, ce n'est qu'un détail qu'il a souligné en parlant de son coéquipier du Rocket. Une autre citation aura retenu l'attention, celle où il vante davantage le leadership de Caufield. Pourtant, l'un des plus jeunes chez le Rocket, l'ailier prometteur, serait un modèle à suivre sur la glace, selon le vétéran de la LAH.

« Son exécution et sa rapidité, sont impressionnants. Même s'il n'a que 20 ans, je le regarde faire et j'apprends de lui. C'est plaisant de travailler avec ce genre de joueur. C'est un genre d'expert dans ce qu'il fait. Si tu es le moindrement allumé, tu vas essayer d'apprendre de lui. »

On sait qu'il y a déjà de bons vétérans à Montréal, comme Brendan Gallagher qui montre l'exemple par son travail acharné, ou encore Shea Weber qui est un capitaine très rassembleur et qui prône la chimie. Dans un avenir proche, en se fiant aux propos de Belzile, il pourrait être intéressant de voir l'effet qu'aura Caufield sur l'amélioration technique de ses coéquipiers.

En rafale ⬇⬇