« Une partie de cela est due au fait que l'organisation fait des recherches externes sur des candidats potentiels, à la fois dans le bureau du DG et derrière le banc. Évidemment, vous essayez de garder cela aussi discret que possible, mais il y a toujours un risque de fuite. On pense que si les Canucks souhaitaient parler à Julien, par exemple, Montréal ne bloquerait pas la permission.
C'est stressant, et tout le monde à l'interne - des bureaux au vestiaire - est sur les nerfs en attendant que quelque chose se passe. La meilleure solution est que tout le monde rame dans la même direction, mais ce n'est clairement pas le cas. »