Visiblement, le 26e choix au total du Canadien de Montréal lors du dernier repêchage, Filip Mesar, n'est pas venu en Amérique du Nord pour jouer les touristes.
Son but : jouer avec le Rocket de Laval et non avec les Rangers de Kitchener, dans la Ligue de l'Ontario.
« Ça ne me dérange pas, mais je pense que la meilleure option pour moi serait la Ligue américaine ».
Mesar a d'ailleurs souligné à quel point son compatriote Juraj Slafkovsky a de la pression cette année. Il est d'ailleurs heureux, de son côté, de ne pas attirer l'attention.
« Je pense que c'est bon pour moi parce que c'est peut-être un peu trop de pression pour lui parfois. C'est probablement plus facile pour moi. Je préfère ne pas avoir trop d'attention », a-t-il jugé.
En Slovaquie, la pression semble encore plus intense, comme le souligne Mesar.
« C'était fou (à leur retour en Slovaquie après le repêchage). On a beaucoup de pression dans notre pays, mais on gère bien le tout. Juraj est très fort mentalement »