Déclarations majeures de Dominique Ducharme concernant son congédiement
L'ancien entraîneur-chef du Canadien de Montréal, Dominique Ducharme, n'a pas énormément parlé de son congédiement depuis quelques mois. Du moins, pas en détail.
Depuis son congédiement, Dominique Ducharme s'est tenu loin des médias ou presque, mais cette époque est révolue.
Il a accordé une excellente entrevue au réseau The Athletic et a répondu à plusieurs questions qui nous brûlaient les lèvres.
Ducharme s'est vidé le coeur sur sa relation inexistante avec Jeff Gorton et Kent Hughes.
« C'est le côté qui me fait mal, ou qui me déçoit le plus, de ne pas avoir eu la chance de m'asseoir avec eux pour leur dire comment je voyais le hockey.
« Si le plan était de perdre le plus de matchs et de faire jouer les jeunes, j'aurais aimé ça le savoir parce que j'aurais pris une approche différente avec eux. J'essayais de squeezer partout pour avoir un peu de résultats. Je voyais des équipes qui avaient des matchs annulés parce que cinq de leurs joueurs avaient la COVID. Nous on en avait dix, plus huit autres qui étaient blessés, et on jouait pareil... »
« Si le plan était de perdre le plus de matchs et de faire jouer les jeunes, j'aurais aimé ça le savoir parce que j'aurais pris une approche différente avec eux. J'essayais de squeezer partout pour avoir un peu de résultats. Je voyais des équipes qui avaient des matchs annulés parce que cinq de leurs joueurs avaient la COVID. Nous on en avait dix, plus huit autres qui étaient blessés, et on jouait pareil... »
Clairement, Ducharme a trouvé sa situation injuste.
« Je pense que quand Marc est parti, c'était déjà décidé. »
« On était tout le temps vu comme l'équipe qui était allée en finale de la Coupe Stanley et qui n'arrivait pas à gagner. Le changement d'entraîneur a envoyé le message aux partisans et aux joueurs qu'on reconstruit, on fait confiance aux jeunes. Là le résultat n'était plus grave, Martin pouvait se permettre de parler de victoires morales. Moi, si je parlais de victoires morales, je me faisais ramasser. »
« On était tout le temps vu comme l'équipe qui était allée en finale de la Coupe Stanley et qui n'arrivait pas à gagner. Le changement d'entraîneur a envoyé le message aux partisans et aux joueurs qu'on reconstruit, on fait confiance aux jeunes. Là le résultat n'était plus grave, Martin pouvait se permettre de parler de victoires morales. Moi, si je parlais de victoires morales, je me faisais ramasser. »
On peut comprendre que ça devait être délicat comme situation.
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