« La LNH a des programmes de soutien pour les abus de substances, c'est vraiment un bon programme pour les joueurs, que ce soit pour la santé mentale ou l'abus de substances et je sentais que j'étais dû.
J'ai commencé à boire pour le plaisir, et je trouvais que j'étais très bon, même que j'excellais, mais ça a atteint un point que ce n'était plus plaisant. Je me réveillais le dimanche matin en me disant que je ne ferais plus jamais ça de ma vie, mais je le refaisais toujours encore.
Ça en est venu à un point où j'avais vraiment besoin d'arrêter et que le moment était venu de demander de l'aide.
Et c'est l'étape la plus difficile pour casser les mauvaises habitudes, c'est de réaliser qu'on a besoin d'aide et il n'y a rien de mal à ça. Tout le monde demande de l'aide dans leur vie. Je trouvais que demander de l'aide était la bonne chose à faire et ça a fonctionné pour moi. »