Selon Bill Daly, bras droit de Gary Bettman, aucune solution n'est proche pour équilibrer les avantages fiscaux, malgré les discussions récurrentes avec les directeurs généraux.
Il reconnaît que les joueurs choisissent leurs équipes pour des raisons diverses, mais admet que les impôts influencent ces décisions.
Les équipes canadiennes, comme le Canadiens de Montréal, doivent souvent offrir des salaires plus élevés pour compenser cet écart fiscal.
Des joueurs comme Shane Pinto des Sénateurs d'Ottawa ont exprimé leur frustration, affirmant que les équipes doivent trouver un moyen d'ajuster ce désavantage. On le voit dans les statistiques récentes : la majorité des équipes finalistes de la Coupe Stanley viennent de régions où il n'y a pas d'impôt sur le revenu.
Cependant, Kent Hughes semble moins préoccupé. Il bâtit son équipe à long terme par le repêchage et des contrats durables, misant sur la progression de l'équipe et la notoriété de Montréal. L'approche axée sur la victoire, plutôt que l'argent, pourrait devenir un atout pour attirer les talents à l'avenir.
À mon avis, bien que la fiscalité reste un obstacle pour les équipes canadiennes, Montréal peut surmonter ce désavantage en misant sur sa tradition de hockey et son potentiel de succès.
Source : The Athletic
NHL monitoring teams' income-tax advantages, but ‘there are no easy fixes'
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