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Le 30 juillet dernier, Paul Fenton perdait son emploi (Voir l'article ici). En 14 mois, l'ancien DG a effectué plusieurs échanges, Nino Niederreiter, Charlie Coyle et Mikael Granlund, qui n'ont pas fait l'unanimité et, selon la rumeur, il jonglait avec l'idée d'échanger Zach Parise ou même Jason Zucker, qui pourtant venait de signer une prolongation de contrat de cinq ans d'une valeur de 27.5 Millions$, lorsque Fenton a été congédié, Avant de signer son contrat, Zucker avait, en effet, fait l'objet de nombreuses rumeurs de transaction passant même près d'être échangé à plusieurs occasions, incluant l'échange aux Penguins de Pittsburgh contre Phil Kessel que ce dernier a fait échouer.
Selon Jessi Pierce de NHL.com, le congédiement de Fenton fait en sorte que Zucker peut maintenant dormir tranquille. Ce dernier a, en effet, reçu un appel du propriétaire Craig Leipold après qu'il ait pris la décision de se départir des services de son directeur général considérant qu'il avait été l'un des joueurs les plus affectés sous le règne de Fenton. Zucker avait alors affirmé à son propriétaire qu'il était content qu'aucune de ces rumeurs ne se soit concrétisée puisqu'il était heureux au Minnesota tout en lui confirmant être prêt pour un nouveau départ, mais que celui-ci ne nécessitait pas forcément de se joindre à une autre équipe. La nomination du nouveau DG ne devrait pas relancer la machine à rumeurs puisqu'il ne devrait pas tenter d'échanger un ou plusieurs des joueurs faisant parti du noyau de l'équipe, Zucker étant l'un d'eux, et ce, à plus ou moins brève échéance. De plus, l'organisation bénéficiera de l'apport d'un joueur respecté comme lui dont l'implication à long terme envers le club et son plaisir d'en être un des maillons important sont inestimables.
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Il ne reste qu'un mois avant que le camp d'entraînement des Bruins de Boston ne se mette en branle et pourtant ils n'ont pas encore réussi à convaincre deux de leurs meilleurs défenseurs, Charlie McAvoy et Brandon Carlo, deux agents libres avec compensation, de signer une prolongation de contrat. Selon CapFriendly.com, l'organisation ne dispose actuellement qu'un peu plus de 7 Millions$ sur le cap salarial ce qui est nettement insuffisant puisqu'il semblerait que McAvoy, à lui seul, viserait une entente qui lui rapporterait annuellement environ 8 Millions$ puisqu'il prendrait le récent contrat signé par le défenseur Jacob Trouba avec les Rangers (7 ans pour 56 Millions$) à titre de comparatif. Même s'il acceptait de parapher un pacte de transition, McAvoy exigerait tout de même un salaire de plus de 6 Millions$/année. Peu importe le scénario, les Bruins ne pourront, dans l'état actuel des choses, satisfaire aussi les exigences de Carlo qui, même s'il a des statistiques offensives moins reluisantes que son homologue, s'est avéré l'arrière le plus fiable défensivement ces trois dernières saisons. Le salaire réclamé dépend évidemment de la durée du contrat, mais, même s'il s'agit d'un pacte à long terme, l'entente devrait lui rapporter néanmoins un salaire au-dessus des 4 Millions$ annuellement.
Les négociations achoppent sûrement puisque, si ce n'était pas le cas, une annonce de prolongation aurait déjà été faite. Selon ce que Cam Neely, le président des Bruins, a confié à NBC Sports Boston, l'équipe doit se préparer à la possibilité qu'un, ou même les deux joueurs, n'ait pas encore signé de contrat en septembre. C'est une situation à suivre. Crédit : prohockeyrumors.com.
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Le 29 juillet dernier, les Coyotes de l'Arizona ont présenté Alex Meruelo, leur nouveau propriétaire majoritaire (Consultez l'article ici). Depuis les rumeurs n'ont cessé d'affirmer que ce dernier s'empresserait de déménager la franchise, probablement à Houston.
Matt Layman sur Arizona Sports 98.7, a cependant rapporté des faits intéressants provenant de la conférence de presse qu'a donnée le nouveau propriétaire la semaine dernière. Meruelo a affirmé vouloir garder l'équipe en Arizona. Pour ce faire, il doit cependant trouver un moyen pour que le club évolue dans un nouvel amphithéâtre. Il doit aussi trouver une façon de ramener l'organisation, qui ne cesse de perdre de l'argent, au niveau du seuil de la rentabilité. Le nouveau propriétaire pourrait cependant fort bien être la bonne personne pour y parvenir puisqu'il a la réputation d'acquérir des compagnies en difficulté pour les rendre à nouveau florissantes. Les partisans doivent espérer qu'il saura faire de même avec les Coyotes malgré le fait que plusieurs considèrent que le club ne peut survivre à l'endroit où il évolue actuellement. Espérons pour les fans que ces oiseaux de malheur auront tort.