« La chose que je retiens de P.K. Subban, c'est qu'il a joué son meilleur hockey à Montréal. Le marché de Montréal l'excitait. Il fallait le calmer à l'occasion. Il fallait s'assurer qu'il rentre dans le rang souvent. En tant qu'entraîneur, c'était mon travail à moi de m'assurer que P.K. était concentré à performer. Je demandais aux joueurs de s'assurer de gagner le respect des coéquipiers. C'était la chose la plus importante pour moi. Tu te dois de faire les bonnes choses sur la patinoire, à l'extérieur et dans le vestiaire. Sans le respect des autres, tu n'es pas grand-chose. »