À sa première saison dans l'uniforme du Canadien, le défenseur de 28 ans a compilé sa meilleure fiche offensive en carrière avec une récolte de neuf buts et 12 passes pour un total de 21 points en 69 matchs.
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Comme le font plusieurs joueurs de la LNH présentement en raison de l'arrêt des activités dû à la COVID-19, Ben Chiarot a accepté hier de faire une conférence téléphonique en présence de journalistes pour répondre à diverses questions. L'un des principaux sujets de la conférence téléphonique a été la signature de son contrat de l'été dernier.
Selon ce que mentionne l'ancien choix de quatrième tour des défunts Thrashers d'Atlanta, en plus des Canadiens de Montréal, deux autres formations étaient sérieusement dans la course pour le défenseur. Chariot aurait même refusé un contrat plus lucratif pour venir jouer à Montréal, où Marc Bergevin lui avait promis un rôle beaucoup plus significatif.
« J'avais de meilleures offres sur la table, mais la façon dont on m'a vendu le rôle que j'allais jouer avec le CH a été la clé pour ultimement me convaincre. Je m'en serais voulu d'avoir refusé l'offre du Canadien. Il n'y a rien comme d'enfiler le chandail rouge du CH un samedi soir enneigé au Centre Bell! »
En plus de venir aider les Canadiens, il ne leur a pas nui. En effet, selon ce qu'il a mentionné au journaliste Eric Engels de Sportsnet, les deux équipes dans la course pour faire son acquisition étaient deux formations qui sont dans la même division que les Canadiens de Montréal.
« Les Maple Leafs de Toronto ont été la première équipe à me contacter à l'ouverture du marché des agents libres l'été passé. Les négociations avec les Red Wings de Détroit s'étaient rendues assez loin également et j'ai aussi reçu une meilleure offre monétaire que celle que j'ai finalement acceptée de la part du Canadien. »
Un autre journaliste, Jean-François Chaumont du Journal de Montréal, lui a quant à lui demandé ce qu'il dirait aux agents libres qui hésitent à signer à Montréal. Une réponse qui pourrait en convaincre quelques-uns de venir à Montréal si la chance se pointait dans le futur.
« Je lui dirais que s'il aime jouer devant des salles combles comme le Centre Bell, avec des partisans qui aiment le hockey et pour une équipe historique, je lui dirais que c'est l'endroit parfait pour jouer au hockey. Pour moi, il n'y a pas de meilleur endroit que Montréal. Le hockey est très important ici. Je crois qu'en tant que joueur de hockey, c'est ce que tu veux. Tu veux jouer dans une ville qui aime le hockey, et c'est l'une des raisons pour lesquelles j'ai décidé de signer ici. C'est la première chose que je dirais à quelqu'un qui jongle avec l'idée de venir à Montréal. »
Crédit : HABSolumentfan