L'harcèlement sexuel de Jake Virtanen est devenu encore plus sérieux

La déclaration a poursuivi en disant que Virtanen avait emmené la femme dans un hôtel de West Vancouver en septembre 2017 et l'avait violée malgré ses refus répétés et ses plaidoiries pour qu'il arrête.

La plainte au civil allègue que lorsqu'ils sont entrés dans la pièce, «Virtanen est venu derrière la plaignante et a commencé à lui embrasser le cou et à mettre ses mains sur tout le corps. La plaignante aurait haussé les épaules de Virtanen. L'action civile allègue que Virtanen «est devenu plus persévérant dans sa tentative d'avoir des relations sexuelles avec le plaignant». La femme affirme dans ses documents judiciaires qu'elle a dit à Virtanen «non».

«Compte tenu de la taille, du poids corporel et de la force supérieure de Virtanen, la plaignante était impuissante et n'était pas en mesure de forcer Virtanen à la quitter», allèguent les documents. «Virtanen a continué à pousser les jambes de la plaignante et à avoir des relations sexuelles avec la plaignante sans son consentement.»

«Je ne pouvais pas croire que j'avais dit non et il n'a pas pris cela pour une réponse», dit-elle. «Je me sentais violé et dégoûtant et je voulais partir.»

De nombreux médias, dont la Presse canadienne, ont examiné les dossiers judiciaires et ont fourni les informations suivantes: La femme, identifiée uniquement par ses initiales, aurait subi des dommages physiques et émotionnels, y compris des troubles de stress post-traumatique, de la dépression, de l'anxiété et de fréquents et des cauchemars continus, selon la déclaration.

Le 1er mai, les Canucks ont mis Virtanen en congé, déclarant que l'équipe «ne soutient aucune agression sexuelle de quelque sorte que ce soit» et que «les accusations énoncées sont prises très au sérieux».

Crédit: Credit: HockeyFeed