« Juraj jouait mieux sur la scène internationale que dans la Liiga. Mon explication était assez simple. Je le laissais jouer, je lui permettais de s'exprimer. Je voulais qu'il reste agressif, qu'il patine, qu'il soit bon en échec avant et il aimait ça. En Finlande, on lui disait de jouer la trappe, de se replier, de couper des passes pour une contre-attaque. Il est meilleur quand tu le laisses respirer. Et il te retournera la faveur en travaillant très fort. »