« Très clairement, il y a un intérêt saoudien dans l'entreprise [evenko] », affirme le professeur Ivan Tchotourian, professeur à l'Université Laval et codirecteur du Centre d'études en droit économique.
« Avec des représentants sur le conseil d'administration, on s'approche d'un contrôle, car il y a une identité, ajoute-t-il. L'intérêt est présent et on voit une chaîne de détention même si ce sont des investissements indirects. »
Selon l'expert en éthique de l'entreprise et en gouvernance Michel Séguin, « une entreprise [comme le Groupe CH] n'aurait pas intérêt à s'associer avec des partenaires qui ont des principes contraires. »