Il y a cinq mois le gardien de 34 ans semblait intouchable grâce à ses performances durant les séries éliminatoires où il a aidé le Canadien à se rendre jusqu'en finale, mais après un début de saison désastreux dans lequel il n'a toujours pas joué de match, presque tous les joueurs semblent disponibles, Price étant la pièce portant le plus de valeur.
Le cas de Price devient particulièrement intrigant lorsqu'on prend en compte son contrat qui comprend quatre autres saisons à 10,5 M$.
Les recruteurs questionnés dans l'article de M. Godin semblent d'avis qu'il y aura assurément des équipes intéressées à en faire l'acquisition, en particulier les formations qui pensent qu'elles sont « à un Carey Price » de gagner la Coupe Stanley.
L'un des recruteurs en question estime la valeur du gardien à un choix de première ronde et un espoir, minimum.
Et, bien sûr, si le tricolore accepte un mauvais contrat en échange, la valeur augmente et si l'équipe retient du salaire, ça monte encore plus.
Sachant cela, on se rappelle une proposition d'échange que soulève Marc-Olivier Beaudoin dans son article du samedi, où il propose :
« Exemple : Le CH échange Carey Price aux Coyotes en retenant 50 % du 10 500 000 $ (5 250 000 $) et ils l'envoient ensuite, exemple, à l'Avalanche ou aux Oilers en retenant eux aussi 50 % du salaire (2 625 000 $). »
Retenir du salaire pendant quatre saisons serait un handicap important, mais cela rendrait le retour pour Price considérablement plus grand. Car si des recruteurs croient que Price à 10,5 M$ par année pour quatre ans vaut au moins un choix de première ronde et un espoir, quel serait le retour pour un Carey Price à 2,625 M$ par année pour quatre ans?
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Source : Habs et LNH